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Nous avons le plaisir de vous présenter le premier livre en français sur le Processwork Introduction à la pratique du Processwork, dont le sous-titre est : Du conflit à la coopération. Bonne nouvelle, il existe une nouvelle méthode pour agir dans le monde, pour aider au changement dans les entreprises, et pour se transformer personnellement, les 3 niveaux étant liés par le principe de non-localité.

Comme le Processwork, ce livre est vivant, divers et varié, incluant de la théorie, des témoignages, des exercices, des situations concrètes, et la mise en perspective par l’historique du développement du Processwork en France. Ecrit à 3 auteurs, il donne un aperçu du Processwork « à la française » et de ses influences, notamment la PNL et le Clean Language.

Un livre riche et éclairant qui réunit dans un ouvrage unique tous les morceaux du puzzle. En bref, un ouvrage passionnant !

S’asseoir au cœur du feu : Comment le Processwork transforme le conflit en force de changement

Le chef-d’œuvre d’Arnold Mindell est enfin traduit en français grâce à Maurice Brasher qui diffuse le Processwork (ou Démocratie profonde) en France depuis plus de 25 ans. Dans ce livre, Mindell décrit les situations sociales sources de violence dans les sociétés démocratiques. Interviennent les questions de rang (l’inconscience du rang), de privilège, de racisme, de sexisme, de terrorisme, etc. Les questions que l’on ne sait pas traiter ou que l’on ne veut pas traiter, saturent l’atmosphère des groupes et des entreprises. Lorsqu’on interroge les personnes qui sont en colère parce qu’on ne les écoute pas, les choses commencent à changer…

L’art martial du leadership : résoudre les conflits, construire la communauté et transformer les organisations. Arnold Mindell a pour grand rêve de rendre le travail sur les conflits plus intéressant que la guerre. Il compare la vie d’un groupe à un iceberg où la partie immergée est un « champ » très riche de processus qui se jouent entre les différents acteurs, à différents niveaux : les ressentis, les émotions, les jalousies, les commérages, toute cette activité souterraine représente les limites du groupe, là où il ne veut pas aller, surtout s’il craint les conflits. Le Processwork va permettre d’accéder à ce monde.
Le facilitateur en Processwork doit avoir les qualités d’un professeur de judo ou d’aïkido : il est très sensible à l’énergie du groupe, à la façon dont elle s’équilibre par le jeu des polarités, il suit le trajet de l’énergie en fonction des processus secondaires qui ne demandent qu’à survenir. Il doit avoir des qualités de centrage, de présence, avoir travaillé abondamment sur ses propres conflits (brûlé son bois) pour n’être plus affecté par ce qu’il se passe, et pratiquer le détachement. Alors, il peut simplement attendre que le processus se déroule, et apporter sa conscience pour l’accompagner.